En octobre 2017, la Food and Drug Administration (FDA), a autorisé pour la première fois l’exploitation d’une IRM 7 T en pratique clinique. Le 21 mars dernier, le congrès de la Société française de neuroradiologie (SFNR) s’est interrogé sur le potentiel de l’utilisation d’un tel appareil en routine pour l’exploration de la tête, du cou et du rachis. Au micro : Alexandre Vignaud, responsable de la plateforme d’imagerie clinique 7 T au Commissariat à l’énergie atomique (CEA).
Une technique prometteuse
D’un point de vue pratique, entame-t-il, les machines 7 T présentent certaines particularités à prendre en compte pour leur installation et leur utilisation. « Elles sont très imposantes et très lourdes. En revanche, leurs consommations en eau et en électricité sont à peu près similaires à celles d’une IRM 3 T. »
Un « fort bénéfice » au niveau du rapport signal sur bruit
Au niveau médical, la 7 T apporte, selon lui, de nombreux bénéfices par rapport à la 3 T, « en tout cas au niveau théorique »
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