Dans le dépistage du cancer du sein, l’IRM mammaire doit être employée avec pertinence et discernement. C’est le message qu’a voulu faire passer Aurélie Jalaguier-Coudray lors d’une session des Journées francophones de radiologie 2018 consacrée à cette modalité, dimanche 14 octobre. Un rendez-vous préparé par la Société française d’imagerie de la femme (SIFEM). « L’IRM ne peut pas et ne doit pas résoudre tous vos problèmes. Le couple mammographie et échographie suffit la plupart du temps », a répété la spécialiste, en rappelant le principe de base de cette modalité : « Si l’IRM montre une anomalie, il faut faire une biopsie puisqu’elle a une haute sensibilité. Si elle ne montre rien, on reclasse le bilan parce que l’IRM présente une haute valeur prédictive négative. »
5 situations qui mènent à l’IRM…
Alors, dans quelles situations faut-il proposer une IRM à la patiente ? Pour Aurélie Jalaguier-Coudray, elles sont au nombre de 5 :
- Un doute sur l’existence réelle d’une lésion vue à la mammo
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