JFICV 2018

Un avant-goût de l’avenir en imagerie de l’aorte

Le congrès de la Société française d’imagerie cardio-vasculaire (SFICV) organisait récemment son 9e congrès à Beaune (Côte-d'Or). Lors de cet évènement, Alain Lalande, praticien hospitalier en radiologie cardiaque au CHU de Dijon, a présenté des séquences IRM prometteuses pour l’imagerie de l’aorte.

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Le 08/08/18 à 11:00, mise à jour aujourd'hui à 15:22 Lecture 2 min.

Lors du congrès de la SFICV, Alain Lalande a évoqué les perspectives de l’imagerie de l’aorte en IRM. © C. F.

Le 23 juin 2018, l’une des sessions organisées lors des Journées francophones d’imagerie cardio-vasculaire était consacrée la place de l’imagerie en coupe dans l’exploration des valves et de l’aorte.  A cette occasion, Alain Lalande, praticien hospitalier en radiologie cardiaque au CHU de Dijon, a fait un point sur les perspectives de l’imagerie de l’aorte en IRM.

Des séquences qui sortent des sentiers battus

Après avoir présenté des examens « classiques », notamment les séquences turbo spin écho T1 et l’imagerie cinétique en sagittale oblique dans l’axe de l’aorte, l’intervenant a évoqué des séquences « plus avant-gardistes ». « On s’intéresse de plus en plus aux propriétés mécaniques de l’aorte, observe-t-il. Elles ont déjà été étudiées avec des séquences en 2D. Les premières séquences un peu originales sont les séquences codées en vitesse de flux. »

Cette séquence se révèle particulièrement intéressante pour calculer la fraction de régurgitation, ainsi que pour évaluer le type de valv

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Auteurs

Carla Ferrand

Journaliste cheffe de rubrique

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