La technologie pourrait aider à mieux orienter les traitements des malades du cancer. Des chercheurs du centre Gustave-Roussy (Villejuif), de l’Inserm, de l’université Paris-Sud, de Centrale Supélec et TheraPanacea ont développé un algorithme capable de prédire comment une tumeur répondra à une immunothérapie anti-PD-1 ou anti-PD-L1. Leurs travaux ont fait l’objet d’un article dans la revue The Lancet [1].
Les lymphocytes T CD8 comme marqueurs prédictifs
Pour cette étude rétrospective, ils ont réuni 4 cohortes indépendantes de patients atteints de tumeurs solides avancées. Dans la première, issue de l’essai MOSCATO 1, ils ont recherché la signature génomique des lymphocytes T CD8 dans les données de séquençage ARN des lésions. La présence de ces cellules immunitaires capables d’infiltrer les tumeurs serait en effet un marqueur de l’efficacité d’une immunothérapie anti-PD-1 ou anti PD-L1.
Des signatures radiomiques et de l’apprentissage machine
Roger Sun et ses confrères ont ensuite aligné
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