Le « buzz » autour du gadolinium semble s’estomper mais les scientifiques continuent le travail. En février 2018, l’Institut américain d’imagerie biomédicale et de bio-ingénierie, la Société nord-américaine de radiologie (RSNA) et le Collège américain de radiologie (ACR), ont réuni des spécialistes internationaux du sujet, à Bethesda, dans le Maryland. Leur mission : faire le point sur les connaissances et leurs lacunes concernant les mécanismes, l’importance biologique et les implications cliniques de la rétention de gadolinium, et identifier les recherches prioritaires à mener en la matière. La « feuille de route » de la recherche sur le gadolinium est parue en septembre dans Radiology [1].
Quelles répercussions cliniques ?
Priorité absolue pour ces experts : déterminer si la rétention de gadolinium est associée à des manifestations cliniques. Une question importante, en particulier chez les personnes vulnérables telles que les patients atteints de comorbidités qui altèrent la biodistr
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