Du gadolinium dans les cerveaux

Faut-il craindre les agents de contraste au gadolinium ? Depuis que plusieurs études ont montré que certains d’entre eux peuvent laisser des traces dans le cerveau après des expositions répétées, le débat agite la communauté scientifique, les laboratoires pharmaceutiques et les pouvoirs publics. Pendant que les travaux de recherche se multiplient, certains soulignent l’absence de preuve de toxicité de ces dépôts quand d’autres invoquent le principe de précaution et appellent à la prudence. Le Commission européenne a tranché en novembre 2017, en retirant l'autorisation de mise sur le marché de trois agents de type linéaire.

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Le 12/05/17 à 15:00, mise à jour hier à 14:29

Auteurs

Jérome Hoff

Rédacteur en chef adjoint BOM Presse Clichy

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Le fil Docteur Imago

13:55

Les Hôpitaux civils de Colmar ont signalé un évènement de radioprotection après que deux praticiens en radiologie interventionnelle ont reçu des doses significatives de rayonnements aux mains, l’un dépassant légèrement la limite annuelle réglementaire. L’ASNR classe l’incident au niveau 1 de l’échelle INES et vérifie la mise en place des mesures correctives, rappelant l’importance du port systématique des dosimètres, indique l'institution.

7:53

Des chercheurs ont évalué l’incidence des cancers du poumon diagnostiqués dans les deux années suivant des recommandations émises par des radiologues pour un scanner thoracique dans les comptes rendus de scanner et d’IRM de la tête et du cou. Ils suggèrent que la fréquence de ces recommandations devrait être considérablement réduite (étude).
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