Un temps de relaxation T1 raccourci en IRM pourrait trahir la présence de dépôts de gadolinium dans le cerveau, alors même que l’intensité du signal ne change pas, avance un article paru le 1er janvier 2019 dans Radiology [1].
160 patients exposés au gadobutrol
Pour cette étude prospective, Marc Saake et ses confrères de l’institut de radiologie et du département de neuroradiologie de l’hôpital universitaire d’Erlangen, en Bavière, et d’autres universités allemandes, ont recruté des patients qui avaient passé au moins un examen d’IRM avec injection de gadobutrol (Gadovist®, Bayer Healthcare) entre 2007 et 2017. Ils ont formé deux groupes. Le premier rassemblait les patients qui avaient passé au moins 5 IRM injectées et avaient une fonction rénale normale (groupe 1). Les membres du second groupe avaient passé au moins une IRM injectée et leurs reins ne fonctionnaient pas normalement (groupe 2). Deux groupes contrôle, dont les membres n’avaient jamais été exposés à des agents de contraste
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