Radiologie interventionnelle

« À terme naîtra une spécialité entre la chirurgie et la radiologie »

Que ce soit par les modalités ou les spécialités, la radiologie interventionnelle voit son champ des possibles grandir chaque jour. Une conférence des Journées francophones de radiologie s’est intéressée aux nouvelles techniques, mais aussi et surtout aux perspectives de cette composante essentielle de la radiologie.

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Le 12/10/21 à 7:00, mise à jour aujourd'hui à 15:10 Lecture 4 min.

Afshin Gangi plaide pour que les radiologues interventionnels soient avant tout des cliniciens et puissent recevoir les patients pour chercher ce qu’ils peuvent faire pour leur problème. © Benjamin Bassereau

S’il était encore besoin de le prouver, la radiologie interventionnelle est la discipline radiologique qui dépasse les frontières. C’était d’ailleurs le thème de la conférence plénière des Journées francophones de radiologie du 9 octobre 2021. Plusieurs intervenants ont présenté les avancées techniques de la discipline, de l’utilisation de la fusion d’images et de la réalité virtuelle à l’IRM interventionnelle en passant par l’immunothérapie ciblée. Afshin Gangi, professeur de radiologie interventionnelle au CHU de Strasbourg (67) et président de la Société européenne de radiologie interventionnelle et cardiovasculaire (CIRSE), a résumé le défi principal de la discipline : « La technique est magnifique, mais poser l’indication est essentiel. Nous devons être des cliniciens avant tout. »

Avant tout des soignants

« Nous ne sommes pas les victimes, nous sommes un peu les envahisseurs. » Le radiologue interventionnel estime que la spécialité est celle qui progresse le plus. Pour lui toutefoi

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Benjamin Bassereau

Directeur de la rédaction BOM Presse Clichy

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