Depuis le 1er juillet 2023, l’exercice de la médecine nucléaire est soumis à une autorisation d’activité. Deux niveaux d’autorisation, ou « mentions », ont été définis : la mention A permet de pratiquer les actes diagnostiques et thérapeutiques hors thérapies des pathologies cancéreuses, ces dernières, dont la radiothérapie interne vectorisée, étant l’apanage des centres de mention B. Chaque centre titulaire peut installer jusqu’à trois appareils, puis jusqu’à neuf appareils avec l’accord du directeur de son agence régionale de santé (ARS).
Simplification et stratification en fonction des risques
Cette réforme, proposée en 2016 par la direction générale de l’offre de soins et élaborée par les professionnels et les tutelles visait deux objectifs : la simplification et la stratification des soins en fonction des risques, indique Florent Cachin, président du Conseil national professionnel (CNP) de médecine nucléaire. « La communauté l’a soutenue d’emblée car elle donnait un cadre intéressan
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