Quand faut-il prescrire un examen d’imagerie à un enfant qui a mal à la tête ? La Haute Autorité de santé (HAS) a lancé des travaux sur le sujet, dont elle a publié la note de cadrage en octobre. Cette initiative intervient dans le contexte d’un accord-cadre conclu entre la HAS et le G4, en concertation avec la Société française d’imagerie pédiatrique et prénatale (SFIPP). « L’objectif principal est pour les médecins généralistes de connaître les situations cliniques qui indiquent une imagerie ou au contraire permettent d’éviter une imagerie sans risque pour l’enfant », indique la HAS.
Des examens plus pertinents
Les enjeux concernent notamment la nécessité de reconnaître une pathologie exigeant une prise en charge spécifique ou urgente, de réduire les examens d’imagerie non justifiés, d’éviter les investigations inutiles liées à la découverte d’incidentalomes, de prévenir le développement de tumeurs radio-induites en réduisant les scanners inutiles et d’améliorer l’accès aux plateaux d’
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