Journée du SNITEM

« La mortalité par cancer du sein diminue de 40 % chez les femmes de 50 à 69 ans qui participent au programme de dépistage »

Le Syndicat national de l'industrie des technologies médicales (SNITEM) organisait le 8 mars une rencontre à Paris autour de la santé de la femme. Deux radiologues ont fait le point sur le dépistage du cancer du sein et l’apport des différentes modalités d’imagerie pour le diagnostic de cette pathologie.

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Le 15/03/18 à 8:00, mise à jour hier à 15:19 Lecture 3 min.

Le 8 mars, le SNITEM a réuni des experts autour du thème de la santé de la femme, notamment en matière de détection du cancer du sein. © C. F.

Jeudi 8 mars, le Syndicat national de l’industrie des technologies médicales (SNITEM) a célébré la « Journée internationale des femmes » en organisant une rencontre autour de la santé féminine. Parmi la douzaine d’experts invités à parler du sujet, des radiologues ont dressé un état des lieux du dépistage et du diagnostic du cancer du sein.

2 500 000 dépistages par an

Brigitte Seradour, radiologue et gynécologue à l’hôpital privé Beauregard, à Marseille (13), est revenue sur l’organisation du dépistage en France. Plus de 4 000 radiologues pratiquent le dépistage en France, dont 95 % sont des libéraux, a-t-elle rappelé. « Chaque année, 2 000 centres réalisent 2 500 000 dépistages. Ce programme permet de détecter entre 16 000 et 18 000 cancers chez des femmes entre 50 et 74 ans. C’est donc une force de frappe importante. » Pourquoi, alors, le programme de dépistage est-il remis en question de façon régulière ? Pour Brigitte Seradour, cela vient en premier lieu du fait que les données en la

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Auteurs

Carla Ferrand

Journaliste cheffe de rubrique

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