Radioprotection

L’ASNR se prépare pour la radiothérapie interne vectorisée

La radioprotection dans le domaine médical est demeurée « satisfaisante » en 2024, selon l’Autorité de sûreté nucléaire et de radioprotection, qui déplore encore des lacunes en radiothérapie et dans le domaine des pratiques interventionnelles radioguidées au bloc opératoire. En 2025, les travaux s’intéresseront notamment aux problématiques liées au développement de la radiothérapie interne vectorisée.

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Logo de l'Autorité de radioprotection et de sûreté nucléaire

Le processus de regroupement des activités de l’ASN et d’une partie de celles de l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) sous la nouvelle bannière de l’ASNR n’a pas perturbé la bonne marche des contrôles et inspections, a assuré Pierre-Marie Abadie, nouveaux président de l'organisme. © ASNR

Depuis la pandémie de Covid-19, en 2020, l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN), fondue depuis le 1er janvier dans la nouvelle Autorité de sûreté nucléaire et de radioprotection (ASNR), fait le même constat chaque année : « Le niveau de radioprotection dans le domaine médical est satisfaisant, mais des fragilités et des points d’attention persistent dans le domaine des pratiques interventionnelles radioguidées au bloc opératoire et de la radiothérapie », a rapporté Géraldine Pina, commissaire du collège de l'ASNR, en marge de la présentation des vœux à la presse de l’autorité, mardi 28 janvier 2025.

Des blocs opératoires mis en demeure

Au bloc, où l’usage des rayonnements ionisants se développe et se diversifie, la culture de la radioprotection peine à s’installer, regrette l’ASNR. Les enjeux sont pourtant importants, pour les patients comme pour le personnel, souligne Géraldine Pina, en pointant le gros chantier que représente la mise en conformité des blocs opératoires. Un quart des

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Auteurs

Jérome Hoff

Rédacteur en chef adjoint

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Spécialité médicale

Médecine nucléaire Oncologie

Modalité d’imagerie

TEMP TEP

Mots-clés

ASN RIV radiothérapie interne vectorisée

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