Offre de soins

Le puzzle complexe des organisations territoriales

GIE, GHT, MSP, CPTS. Autant d’acronymes que de différentes organisations de l’offre de soins, dans lesquelles la radiologie trouve sa place dans les secteurs privé et public. Décryptage.

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Le 10/12/19 à 8:00, mise à jour hier à 14:17 Lecture 3 min.

Les coopérations peuvent se matérialiser en un plateau d’imagerie médicale mutualisé (PIMM) comme celui de Melun. © Carla Ferrand

Depuis quelques années, de nouvelles organisations de l’offre de soins tentent de répondre à la fois aux besoins de maillage territorial suffisant et de rationalisation des moyens financiers, matériels et humains, pour apporter – du moins en théorie - une égalité d’accès aux soins pour tous les Français. Dans les territoires les moins denses, il s’agit en particulier d’améliorer l’attractivité pour les personnels médicaux et paramédicaux.

Les groupements hospitaliers de territoires

Du côté du public, quelque 130 groupements hospitaliers de territoires (GHT) ont ainsi vu le jour depuis 2016, pour regrouper 898 établissements. La radiologie y trouve toute sa place, notamment par les pôles interétablissements. « Les acteurs disposent d’une grande liberté pour définir ce qu’ils mettent en commun en termes d’organisation de l’imagerie médicale », explique la Direction générale de l’offre de soins dans son guide sur l’organisation en commun des activités d’imagerie médicale. Deux formes de coo

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Benjamin Bassereau

Directeur de la rédaction BOM Presse Clichy

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7:53

Des chercheurs ont évalué l’incidence des cancers du poumon diagnostiqués dans les deux années suivant des recommandations émises par des radiologues pour un scanner thoracique dans les comptes rendus de scanner et d’IRM de la tête et du cou. Ils suggèrent que la fréquence de ces recommandations devrait être considérablement réduite (étude).

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Dans une méta-analyse incluant sept études, des données montrent que le poids total et la surface corporelle sont les meilleurs prédicteurs de l’amélioration hépatique au scanner avec contraste, contrairement au poids maigre.

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L’administration de glucagon et d’hyoscine-butylbromure ainsi que le volume de la vessie, n’ont montré aucune association significative avec les artefacts de mouvement lors de l’IRM prostatique T2W. De fait l’utilisation régulière d’antispasmodiques et le vidage de la vessie peuvent être reconsidérés lors de l’IRM prostatique, indique une revue systématique qui souligne la nécessité de stratégies de dosage personnalisées en scanner avec contraste amélioré.
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