Organisation sanitaire

Les promesses et les limites des communautés professionnelles territoriales de santé

La stratégie du gouvernement Ma santé 2022 prévoit de multiplier les Communautés professionnelles territoriales de santé (CPTS). Le dispositif doit permettre de mieux répondre aux problématiques sanitaires des populations. Un vœu pieux selon le président de la FNMR, Jean-Philippe Masson.

icon réservé aux abonnésArticle réservé aux abonnés
Le 20/02/19 à 12:00, mise à jour aujourd'hui à 15:08 Lecture 2 min.

Les CPTS doivent permettre aux professionnels de santé de se coordonner pour répondre aux problématiques sanitaires au sein des territoires (photo d'illustration). CC0 Domaine public

Parmi les mesures phares énoncées dans la stratégie « Ma santé 2022 », le développement des Communautés professionnelles territoriales de santé (CPTS) doit permettre aux professionnels de santé de se coordonner pour répondre aux problématiques sanitaires au sein des territoires, pour une population entre 20 000 et plus de 100 000 habitants. Ces problématiques ciblent notamment l’organisation des soins non programmés, la coordination ville-hôpital, l’attractivité médicale dans les territoires ou encore la coopération entre les médecins de toutes spécialités.

1 000 CPTS d'ici 2022

Instaurées par la loi de modernisation du système de santé du 26 janvier 2016, les CPTS sont aujourd’hui au nombre de 200 en France et la stratégie du ministère de la Santé prévoit de les multiplier par cinq à l’horizon 2022. Ce dispositif s’adresse en priorité aux médecins libéraux. « Concrètement, elles associent des professionnels de santé de toutes spécialités, du premier et du second recours, exerçant en str

Il vous reste 72% de l’article à lire

Docteur Imago réserve cet article à ses abonnés

S'abonner à l'édition
  • Tous les contenus « abonnés » en illimité
  • Le journal numérique en avant-première
  • Newsletters exclusives, club abonnés

Abonnez-vous !

Docteur Imago en illimité sur desktop, tablette, smartphone, une offre 100% numérique

OFFRE DÉCOUVERTE

11€

pendant 1 mois
puis 23 €/mois

S’abonner à Docteur Imago

Auteurs

Carla Ferrand

Discussion

Aucun commentaire

Laisser un commentaire

Sur le même thème

Le fil Docteur Imago

17 Mai

16:00

Le constructeur GE HealthCare a dévoilé sa nouvelle IRM 3 T dédiée à l'imagerie cérébrale, spécialement conçue pour « faire avancer la recherche en IRM dans les procédures complexes en neurologie, oncologie et psychiatrie ». L’équipement est en attente de l'autorisation de la FDA et n’a pas encore le marquage CE, annonce GE HealthCare dans un communiqué.

13:30

Le scanner thoracique à très faible dose offre une grande précision dans la détection des anomalies pulmonaires post-COVID par rapport à un scanner à dose standard à moins d’un dixième de la dose de rayonnement. Il constitue donc une alternative pour le suivi des patients post-COVID, conclut une étude parue dans European Radiology.

7:30

Une étude publiée dans The Lancet Regional Health Western Pacific a identifié des anomalies cérébrales sur les IRM de personnes ayant eu des cas modérés à graves de Covid-19. Ces patients continuent de souffrir de troubles cognitifs, de symptômes psychiatriques et neurologiques et d’altérations fonctionnelles cérébrales, même après 2 ans d’infection, suggèrent les chercheurs.
16 Mai

16:01

L'IRM a une meilleure sensibilité et une spécificité égale à l'échographie transvaginale dans le diagnostic de l'endométriose profonde touchant la cloison recto-vaginale, selon une méta-analyse de huit articles portant sur 721 patientes (lien vers l'étude).
Docteur Imago

GRATUIT
VOIR