Ils ne veulent pas revenir à « l’hôpital d’avant ». Alors que se tiennent les discussions du Ségur de la santé qui doivent aboutir à une réforme du système hospitalier, le collège des chefs de pôle d’imagerie en CHU demande au gouvernement d’apporter des solutions aux « difficultés croissantes au sein des services d’imagerie hospitalo-universitaire ». Ces derniers, alerte-t-il dans une tribune du 19 juin, souffrent de problèmes d’effectifs, d’équipements, d’organisation qui pourraient les empêcher de faire face à une nouvelle crise sanitaire.
Un « choc d’attractivité »
Contre le manque d’effectif, les chefs de pôle appellent à revaloriser et donner « la reconnaissance qu’ils méritent » aux manipulateurs et aux cadres, et demandent un « choc d’attractivité » pour attirer et maintenir les jeunes médecins dans les CHU. Le Ségur doit être le cadre « d’une réflexion de fond afin de trouver rapidement des solutions innovantes et originales », écrivent-ils.
Mettre fin à l’austérité
Il devra aussi
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