« Nous avons respecté le calendrier à la semaine près ». Invité à représenter les pouvoirs publics lors d’une session des Journées francophones de radiologie 2021, vendredi 8 octobre, Dominique Pon, pilote de la délégation ministérielle du numérique en santé, s’est félicité de l’avancée des travaux du Ségur numérique en imagerie médicale.
Des infrastructures de base
Lancé à l’issue des négociations du Ségur de la santé, en juillet 2020, le Ségur numérique s’inscrit dans une feuille de route qui doit permettre à la France de rattraper son retard en matière de numérique en santé. « L’idée a été de poser un plan d’action humble et pragmatique pour que l’État, qui a été longtemps déficient dans ce domaine, reprenne la main et bâtisse un cadre, des règles et des infrastructures de bases sur lesquelles les industriels devront s’appuyer pour développer leurs systèmes numériques », décrit Dominique Pon.
500 millions d’échanges à numériser
Ces bases ? Une identité nationale de santé commune à tous
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