« Il devrait y avoir plus de personnalisation »
Suzette Delaloge,
Oncologue médicale à Gustave-Roussy (94)
Ddirectrice du programme Interception (prévention personnalisée des cancers)
Le dépistage diminue la mortalité spécifique de 20 %. Son efficacité est donc indéniable et importante, mais c’est insuffisant. Il faut trouver des moyens de faire davantage. Pour cela, une des solutions est le dépistage en fonction du risque, qui permet aussi de diminuer la morbidité chez les femmes qui ne sont pas à risque. On pourrait aller vers plus de personnalisation, à la fois du dépistage, et des actions diagnostiques et thérapeutiques, faire avancer l'imagerie vers plus de stratification et la discuter de manière plus individuelle. Je pense également qu’élargir le dépistage aux femmes de moins de 50 ans serait l'occasion de commencer à installer une discussion plus individuelle de la proposition. De nombreuses données et littératures s'étendent largement en faveur d'un dépistage plus stratifié en fon
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