Cancérologie

Dépistage, épidémiologie et principes de traitement des cancers gynécologiques

Les principaux cancers gynécologiques sont les cancers du col de l’utérus, de l’endomètre et des ovaires. Trois maladies dont les modalités de dépistage – quand elles existent –, de diagnostic et de traitement sont variables.

icon réservé aux abonnésArticle réservé aux utilisateurs enregistrés
Le 27/12/16 à 13:00, mise à jour le 19/05/25 à 15:13 Lecture 6 min.

Pour les cancers de type I (endométrioïdes), le traitement est basé sur la chirurgie et la radiothérapie (photo : scanner préalable au traitement de radiothérapie). D. R.

Lors de la cinquième journée des manipulateurs organisée par Gustave-Roussy en octobre 2014, Catherine Lhommé, oncologue médicale, a présenté une synthèse des modes de dépistage, de l’épidémiologie et des principes des traitements des cancers gynécologiques. Il s'agit du cancer du col de l’utérus, de l’endomètre et des ovaires.

Les cancers du col utérin

Une pathologie infectieuse

Le cancer du col utérin est une pathologie infectieuse dans 95 % des cas. 60 à 70 % des occurrences sont dues à un virus oncogène, le papillomavirus humain (HPV) 16 ou 18. « Le cancer du col utérin est prépondérant dans les régions ayant peu de moyens médicaux : l’Asie du Sud, l’Afrique et l’Amérique du Sud. Son incidence est de 9,5 cas pour 100 000 femmes. En France, 3 200 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année », rappelle Catherine Lhommé. L’intervalle entre la première transformation de la cellule suite à une infection par un HPV oncogène et le cancer est en moyenne de 13 ans.

Dépistage

Tous les stades int

Il vous reste 89% de l’article à lire

Docteur Imago réserve cet article à ses utilisateurs enregistrés

Notes

Cet article est paru initialement dans Manip info 80.

Auteurs

Virginie Facquet

Spécialité médicale

Oncologie Imagerie de la femme

Mots-clés

cancer du col de l'utérus

Discussion

Aucun commentaire

Laisser un commentaire

Sommaire

Le fil Docteur Imago

21 Mai

7:50

L’IRM avec écho de gradient peut détecter des hémorragies subtiles à la suite d’une thrombectomie mécanique qui ne sont pas observées au scanner, et les deux modalités offrent des informations complémentaires, indique une étude parue dans la revue Neuroradiology.

7:00

20 Mai

16:27

15:00

13:20

Une étude passe en revue des cas d'anévrismes et de pseudo-anévrismes de l'artère pulmonaire et évalue le rôle critique de l'imagerie avancée et des reconstructions post-traitement dans l'identification et le traitement de ces pathologies en contexte d'urgence.

7:30

✕
Docteur Imago

GRATUIT
VOIR