IRM

Le pelvis féminin à 1,5 T et 3 T

L’IRM du pelvis féminin est indiquée entre autres pour le bilan d’extension local des cancers de l’utérus, la polyfibromatose utérine et les bilans d’endométriose profonde avant chirurgie. Lors d’une édition précédente des JFR, Corinne Balleyguier, radiologue, a fait le point sur les différentes séquences utilisées, à 1,5 ou 3 teslas.

icon réservé aux abonnésArticle réservé aux abonnés
Le 01/03/17 à 16:00, mise à jour hier à 15:13 Lecture 7 min.

L’IRM du pelvis féminin est principalement utilisée pour le bilan d'extension local du cancer du col et du corps de l'utérus, la polyfibromatose utérine avant et après embolisation et les malformations gynécologiques complexes en complément de l'échographie. Elle est aussi indiquée pour la caractérisation de masses indéterminées aux ovaires et les douleurs pelviennes chroniques, notamment les bilans d'endométriose profonde avant chirurgie, ainsi que pour le bilan de statique pelvienne. © Gustave-Roussy

L’IRM du pelvis féminin est principalement utilisée pour le bilan d'extension local du cancer du col et du corps de l'utérus, la polyfibromatose utérine avant et après embolisation et les malformations gynécologiques complexes en complément de l'échographie. Elle est aussi indiquée pour la caractérisation de masses indéterminées aux ovaires et les douleurs pelviennes chroniques, notamment les bilans d'endométriose profonde avant chirurgie, ainsi que pour le bilan de statique pelvienne. Lors de l’édition 2014 des Journées françaises de radiologue, Corinne Balleyguier, radiologue au centre de lutte contre le cancer Gustave-Roussy, à Villejuif (94), est revenue sur ces applications, a décrit les séquences et examens employés et évoqué les avantages et inconvénients de l’IRM 1,5 T et 3 T.

Le T2 sans fat sat comme séquence de base

Que ce soit à 1,5 ou 3 T, la séquence de base de l'IRM du pelvis féminin est le T2 et principalement le T2 sans fat sat. Elle offre un excellent contraste tissulair

Il vous reste 89% de l’article à lire

Docteur Imago réserve cet article à ses abonnés

S'abonner à l'édition
  • Tous les contenus « abonnés » en illimité
  • Le journal numérique en avant-première
  • Newsletters exclusives, club abonnés

Abonnez-vous !

Docteur Imago en illimité sur desktop, tablette, smartphone, une offre 100% numérique

Offre mensuelle 100 % numérique

23 €

par mois

S’abonner à Docteur Imago

Auteurs

Virginie Facquet

Discussion

Aucun commentaire

Laisser un commentaire

Sur le même thème

Le fil Docteur Imago

16 Juil

7:16

Median Technologies a signé un accord de financement avec la Banque Européenne d’Investissement pour une ligne de financement allant jusqu’à 37,5 millions d’euros. Le but est de soutenir le lancement commercial du logiciel médical eyonis®, dédié au diagnostic précoce du cancer par imagerie IA.
15 Juil

16:00

Un « potentiel prometteur » des modèles de langages dans les classifications radiologiques. Selon une étude parue le 7 juillet, ces modèles ont montré une justesse dans la classification générale des fractures, mais des limites de classifications détaillées confirme le besoin de validation par les professionnels de santé avant une véritable utilisation.

13:54

PANCANAI, un modèle d’intelligence artificielle, montre une haute sensibilité dans la détection du cancer du pancréas sur les scanners, dans une large étude rétrospective de cohorte, publiée dans la revue Investigate Radiology.

7:30

En Australie et Nouvelle Zélande, les radiologues en imagerie oncologique préfèrent utiliser des rapports structurés sans terminologies pré-écrite. Selon une étude publiée dans JMIRO, l’utilisation des rapports plus structuré est plus importante dans les pays ou la pratique de l'imagerie oncologique est plus importante et le personnel mieux formé.
Docteur Imago

GRATUIT
VOIR