Lors d’une session du congrès 2021 de la SIMS dédiée aux muscles et fascias inflammatoires, Frédéric Lecouvet, radiologue aux cliniques Saint-Luc de Bruxelles (Belgique), a détaillé les indications de l’imagerie pour l’exploration des myopathies inflammatoires idiopathiques. « Le diagnostic de ces pathologies est avant tout clinique, biologique, électromyographique, histologique et éventuellement dermatologique, décrit-il. On distinguait initialement deux pathologies : la polymyosite et la dermatomyosite, mais les auto-anticorps spécifiques ont révolutionné cette catégorisation et on distingue maintenant la dermatomyosite, les myosites à inclusions, les myosites nécrosantes auto-immunes et des syndromes de chevauchement. »
L'apport de l'IRM pour aider le clinicien
Les myosites inflammatoires idiopathiques sont variées et complexes, souligne Frédéric Lecouvet. « A priori, il n’y a pas beaucoup de place pour l’imagerie mais elle permet quand même d’aider le clinicien à établir un diagnosti
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