Au loin, le dépistage du cancer du poumon

C’est presque une certitude : un dépistage du cancer du poumon permettrait de sauver des vies. Les essais NLST aux États-Unis et NELSON en Belgique et en Hollande, montrent les effets bénéfiques d’un scanner basse dose annuel ou bisannuel sur une population cible de fumeurs ou d’anciens fumeurs. En France, les professionnels de santé concernés plaident à l’unisson pour un tel dispositif, dont la mise en place est suspendue à la décision des autorités de tutelle. Ce dossier fait le point sur les connaissances scientifiques en la matière, sur la position des intervenants, médecins et institutionnels, et tente d’imaginer ses modalités et son organisation.

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Le 27/05/19 à 15:00, mise à jour hier à 14:07

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Benjamin Bassereau

Directeur de la rédaction BOM Presse Clichy

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Le fil Docteur Imago

12 Déc

7:53

Des chercheurs ont évalué l’incidence des cancers du poumon diagnostiqués dans les deux années suivant des recommandations émises par des radiologues pour un scanner thoracique dans les comptes rendus de scanner et d’IRM de la tête et du cou. Ils suggèrent que la fréquence de ces recommandations devrait être considérablement réduite (étude).

13:17

Dans une méta-analyse incluant sept études, des données montrent que le poids total et la surface corporelle sont les meilleurs prédicteurs de l’amélioration hépatique au scanner avec contraste, contrairement au poids maigre.

7:18

L’administration de glucagon et d’hyoscine-butylbromure ainsi que le volume de la vessie, n’ont montré aucune association significative avec les artefacts de mouvement lors de l’IRM prostatique T2W. De fait l’utilisation régulière d’antispasmodiques et le vidage de la vessie peuvent être reconsidérés lors de l’IRM prostatique, indique une revue systématique qui souligne la nécessité de stratégies de dosage personnalisées en scanner avec contraste amélioré.
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