Au loin, le dépistage du cancer du poumon

C’est presque une certitude : un dépistage du cancer du poumon permettrait de sauver des vies. Les essais NLST aux États-Unis et NELSON en Belgique et en Hollande, montrent les effets bénéfiques d’un scanner basse dose annuel ou bisannuel sur une population cible de fumeurs ou d’anciens fumeurs. En France, les professionnels de santé concernés plaident à l’unisson pour un tel dispositif, dont la mise en place est suspendue à la décision des autorités de tutelle. Ce dossier fait le point sur les connaissances scientifiques en la matière, sur la position des intervenants, médecins et institutionnels, et tente d’imaginer ses modalités et son organisation.

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Le 27/05/19 à 15:00, mise à jour hier à 14:06

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Benjamin Bassereau

Directeur de la rédaction BOM Presse Clichy

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Le fil Docteur Imago

13:55

Les Hôpitaux civils de Colmar ont signalé un évènement de radioprotection après que deux praticiens en radiologie interventionnelle ont reçu des doses significatives de rayonnements aux mains, l’un dépassant légèrement la limite annuelle réglementaire. L’ASNR classe l’incident au niveau 1 de l’échelle INES et vérifie la mise en place des mesures correctives, rappelant l’importance du port systématique des dosimètres, indique l'institution.

7:53

Des chercheurs ont évalué l’incidence des cancers du poumon diagnostiqués dans les deux années suivant des recommandations émises par des radiologues pour un scanner thoracique dans les comptes rendus de scanner et d’IRM de la tête et du cou. Ils suggèrent que la fréquence de ces recommandations devrait être considérablement réduite (étude).
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