L’ IRM en toute sécurité

Les risques liés à l’IRM sont nombreux : projection d’éléments ferromagnétiques, quench, brûlures, effets indésirables de l’injection de gadolinium, etc. Il incombe au personnel médical et paramédical de les connaître et de savoir s’en prévenir, pour son propre bien, pour le bien des patients, et celui de la machine elle-même. Ce dossier rassemble des articles issus de notre hors-série Manip info consacré à la sécurité en IRM, paru en 2015.

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Le 17/12/18 à 16:00, mise à jour hier à 15:11

Le fil Docteur Imago

20 Mai

7:30

19 Mai

15:30

La Société de pathologie infectieuse de langue française (SPILF) a publié le 3 mai ses recommandations sur la pneumopathie d'inhalation dans Infectious Diseases Now. Il y est notamment recommandé une imagerie complémentaire pour confirmer le diagnostic, de préférence un scanner thoracique sans injection (ou, en cas d'accès difficile au scanner, une échographie thoracique ou une radiographie thoracique).

11:14

Une étude visant à valider l’efficacité clinique de l’IRM du genou 3-T accélérée de moins de 5 minutes en utilisant l’imagerie parallèle (IP) combinée, l’accélération multicoupe simultanée double et la reconstruction d’image à super-résolution DL contre la chirurgie arthroscopique révèle d’excellentes performances diagnostiques pour détecter les déchirures internes.

7:30

Une étude a comparé les performances de l'IRM ultrarapide par rapport à l’IRM dynamique standard avec contraste (DCE) pour classer les lésions mammaires. L’IRM ultrarapide entraîne une réduction de la visibilité des lésions et n’améliore pas leur classification, constatent les auteurs.
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