Cancer du sein

La HAS rend un premier verdict mitigé sur la tomosynthèse

La mammographie par tomosynthèse pourrait-elle profiter au dépistage organisé français du cancer du sein ? Après avoir passé en revue les études, méta-analyses et articles disponibles sur le sujet, les experts de la Haute Autorité de santé ne tranchent pas : si cette technique semble améliorer le taux de détection des cancers, les essais étudiés – tous menés à l’étranger - sont hétérogènes et leurs résultats guère transposables au programme de dépistage français. Cette incertitude n’empêche pas les radiologues d’acheter et d'utiliser des appareils de tomosynthèse, sans avoir attendu l’élaboration d’un dispositif de contrôle qualité.

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Le 07/02/20 à 16:00, mise à jour aujourd'hui à 15:11

Auteurs

Jérome Hoff

Rédacteur en chef adjoint BOM Presse Clichy

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Le fil Docteur Imago

23 Juin

16:00

Une revue de la littérature dédiée au diagnostic prénatal des anomalies infratentorielles est parue dans Pediatric Radiology. Elle détaille notamment le rôle de l'échographie et de l'IRM fœtale à ce sujet.

13:30

Un nouveau radiopharmaceutique diagnostique pour l'imagerie des métastases cérébrales, le RAD101, a reçu la désignation « fast track » de la FDA, annonce Radiopharm Theranostics, l'industriel australien développant ce produit, dans un communiqué. Marquée au fluor 18, cette petite molécule dédiée à l'imagerie TEP cible l'acide gras synthase (FASN), une protéine multienzymatique surexprimée dans plusieurs tumeurs solides dont les métastases cérébrales.

7:30

Les calcifications mammographiques avec une évaluation bénigne sont associées à un risque accru de cancer du sein avancé, au-delà des seins denses et du surpoids. Les femmes ménopausées aux seins denses, à l’IMC supérieure à 25 kg/m2 et aux calcifications présentaient un risque 5,5 fois plus élevé (IC à 95 % : 3,9-7,7), indique une étude publiée dans Breast Cancer Research and Treatment.
20 Juin

16:00

La Société européenne de radiologie gastro-intestinale et abdominale (ESGAR) a publié des recommandations pratiques pour le diagnostic et l'évaluation de la réponse au traitement chez les patients souffrant d'une maladie de Crohn luminale. L'entéro-IRM et l'échographie sont les examens radiologiques de première ligne, tandis que le scanner peut être utile en seconde ligne ou dans l'aigu, souligne notamment l'article.
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