L’accréditation de la discorde

Le Comité français d’accréditation (COFRAC) travaille sur un référentiel d’accréditation des structures d’imagerie médicale. Pour l’organisme, il s’agit de proposer « un outil de management pour assurer la qualité du service rendu », basé sur le volontariat, à l’instar de celui qui existe pour les laboratoires de biologie médicale. Présenté à l’automne 2018, le projet se heurte à l’opposition du Conseil national de la radiologie française (G4), qui lui préfère les systèmes de labellisation et certification déjà existants ou en cours d’élaboration. Ce dossier fait le point sur les raisons de la polémique et les enjeux de l’accréditation, alors que l’Autorité de sûreté nucléaire s’apprête à instaurer une obligation de contrôle qualité en radiologie.

icon réservé aux abonnésArticle réservé aux abonnés
Le 11/01/19 à 12:00, mise à jour hier à 14:07

Le fil Docteur Imago

12 Déc

7:53

Des chercheurs ont évalué l’incidence des cancers du poumon diagnostiqués dans les deux années suivant des recommandations émises par des radiologues pour un scanner thoracique dans les comptes rendus de scanner et d’IRM de la tête et du cou. Ils suggèrent que la fréquence de ces recommandations devrait être considérablement réduite (étude).

13:17

Dans une méta-analyse incluant sept études, des données montrent que le poids total et la surface corporelle sont les meilleurs prédicteurs de l’amélioration hépatique au scanner avec contraste, contrairement au poids maigre.

7:18

L’administration de glucagon et d’hyoscine-butylbromure ainsi que le volume de la vessie, n’ont montré aucune association significative avec les artefacts de mouvement lors de l’IRM prostatique T2W. De fait l’utilisation régulière d’antispasmodiques et le vidage de la vessie peuvent être reconsidérés lors de l’IRM prostatique, indique une revue systématique qui souligne la nécessité de stratégies de dosage personnalisées en scanner avec contraste amélioré.
Docteur Imago

GRATUIT
VOIR