L’avenir est-il dans les PIMM ?

La loi du 26 janvier 2016 permet aux radiologues des secteurs public et privé de se rassembler au sein de plateaux d’imagerie médicale mutualisés. Dans ces PIMM, ils peuvent mettre en commun leurs appareils mais aussi leur personnel ou leurs locaux à des conditions qu’ils définissent eux-mêmes. Pensé comme une solution au manque de radiologues dans certaines zones, ce nouveau modèle de coopération espère aussi endiguer la fuite des radiologues hospitaliers, en leur offrant de nouvelles perspectives de rémunération. Ce dossier fait le point sur les tenants et aboutissants de ce dispositif, ses avantages et ses inconvénients, et s’interroge sur son avenir, à l’appui des premières expériences de mise en place.

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Le 19/06/18 à 11:00, mise à jour aujourd'hui à 15:08

Auteurs

Jérome Hoff

Rédacteur en chef adjoint BOM Presse Clichy

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Le fil Docteur Imago

08 Août

15:50

L’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon va accueillir sa première IRM, avec des travaux d’installation débutant en octobre 2025 pour une mise en service prévue au 30 juin 2027. Ce projet permettra une amélioration significative de la prise en charge des patients, en réduisant notamment le recours aux évacuations sanitaires pour réaliser des examens IRM, annonce le ministère de la santé.

7:13

La conférence internationale de l’International Pediatric Stroke Organization (IPSO2026), pour la prise en charge des AVC pédiatriques se tiendra du 27 au 29 mai prochain à Paris, sous le thème « Inspiring Innovation, Transforming Care and Improving Outcomes in Pediatric Stroke »,
07 Août

15:00

L’atlas de datation des fractures a permis d’améliorer considérablement les performances des radiologues pour la datation des fractures de la clavicule, de l’humérus et du fémur du nourrisson, et peut ainsi servir de substituts pour dater les fractures des os longs couramment rencontrées dans la maltraitance infantile, (étude).

7:00

Une collaboration internationale de sociétés de radiologie thoracique a élaboré des recommandations pour harmoniser l’évaluation des anomalies pulmonaires résiduelles post-COVID-19. Elle préconise un scanner thoracique à faible dose chez les patients présentant des symptômes respiratoires persistants ou progressifs trois mois après l’infection, et recommande l’usage du glossaire de la Fleischner Society. Le terme « anomalie pulmonaire résiduelle post-COVID-19 » doit remplacer « anomalie pulmonaire interstitielle », pour décrire les anomalies pulmonaires au scanner après une pneumonie COVID-19.
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