Docteur Imago / Qu’est-ce qui vous a amené vers la radiologie libérale ?
Grégory Lenczner / Mon père était radiologue, il faisait de la radiologie « à l’ancienne » dans un petit cabinet à Drancy, en Seine-Saint-Denis. Au moment du choix de l’internat, je me suis posé beaucoup de questions. La radiologie me plaisait car je pouvais faire du diagnostic, de l’interventionnel, de l’entrepreneuriat, et adapter mon activité dans le temps. J’ai choisi l’imagerie libérale car j’ai la fibre entrepreneuriale. À l’hôpital, j’adorais l’ambiance et l’interaction avec les autres spécialités mais le poids de l’administration était pénible. Je voulais être un peu plus indépendant.
D. I. / Comment définiriez-vous l’imagerie libérale à l’heure actuelle ?
G. L. / Elle est en mutation. Il a eu des regroupements entre radiologues. La spécialité s’est structurée pour gagner en attractivité et réduire les coûts. Avec les baisses de tarifs, il faut mutualiser et avoir des cabinets plus gros. Cela s’est fait surto
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