L’endométriose se caractérise par la migration de tissus de l’endomètre en dehors de l’utérus. Elle peut être asymptomatique ou provoquer douleurs et infertilité. Selon la Haute Autorité de santé (HAS), c’est une pathologie « mal repérée, avec une prise en charge insuffisamment coordonnée ». Devant ce constat, la HAS et le Collège national des gynécologues et obstétriciens français ont rédigé de nouvelles recommandations de prise en charge. « L’objectif est de permettre à chaque femme de bénéficier d’un parcours de soins homogène, coordonné et optimal, avec comme facteur clé l’information des patientes », précise un communiqué de presse. Les nouvelles recommandations abordent chaque étape, de l’évaluation des douleurs à la mise en place du traitement, en passant par les symptômes évocateurs à l’examen clinique et à l’imagerie. L’échographie pelvienne est l’examen de première intention pour l’endométriose, secondée par l’IRM pelvienne en cas de masse ovarienne indéterminée.
Gynécologie
Les nouvelles recommandations relatives à la prise en charge de l’endométriose
La Haute Autorité de santé (HAS) et le Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF) ont publié de nouvelles recommandations relatives à la prise en charge de l’endométriose. Elles abordent toutes les étapes, du diagnostic aux traitements.
L’échographie pelvienne est l’examen de première intention pour l’endométriose, secondée par l’IRM pelvienne en cas de masse ovarienne indéterminée. Par Mikael Häggström - Own work, CC0, Link
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