À l’hôpital Necker-Enfants malades, à Paris, la plateforme Lumière accueille chaque jour de futures mères qui ont accepté de participer au protocole de recherche « Lumière sur le fœtus ». « L’objectif est d’étudier l’intérêt et la faisabilité de l’IRM dans des situations qui aujourd’hui ne sont pas référencées comme étant d’intérêt en IRM », explique Charline Henry, ingénieure de recherche. Le protocole inclut quatre groupes distincts : les grossesses normales entre 16 et 36 semaines d’aménorrhée, les patientes avec un suivi échographique normal mais des difficultés d’examen (grossesse gémellaire, obésité, etc.), des grossesses avec pathologies hors indications IRM, et des virtopsies de fœtus après une IMG ou une mort in utero. En imagerie fœtale, le protocole explore les omphalocèles, les laparoschisis, les myéloméningocèles, le syndrome transfuseur-transfusé, les pathologies du placenta et les retards de croissance.
Une expérience positive
Ce jour-là, en milieu de matinée, un couple de
Discussion
Aucun commentaire
Commenter cet article