Coopération public privé

La structuration d’une équipe territoriale de soins

Les équipes territoriales de soins sont des acteurs de premier plan de l’offre de soins. De forme et de composition diverses, leur mise en place et leur fonctionnement exigent l’élaboration soignée d’un projet médical commun et la mise en place d’une structure adaptée au contexte, aux objectifs et aux intérêts de leurs membres.

icon réservé aux abonnésArticle réservé aux abonnés
Le 27/03/18 à 15:00, mise à jour aujourd'hui à 15:19 Lecture 16 min.

Les coopérations médicales public privé, dans ce contexte, tendent à évoluer vers la gestion en commun de la ressource et de l’activité médicale, notamment entre secteur hospitalier et secteur libéral (photo d'illustration). © Lev Dolgachov

Introduction

Une territorialisation de l’offre de soins voulue par les autorités

Parmi ses objectifs affichés, la loi n° 2009-879 du 21 juillet 2009 portant réforme de l'hôpital et relative aux patients, à la santé et aux territoires (dite « loi HPST »), entendait concourir à la mise en place d’une offre de soins graduée, sécurisée et de qualité, répondant aux besoins de santé des patients, par territoires. Elle s’appuyait, pour cela, sur les coopérations sanitaires – préexistantes et à venir - entre professionnels de santé, entre établissements de santé ou médicosociaux comme entre professionnels et établissements. La loi HPST s’attachait en particulier au décloisonnement, à la coordination des soins, notamment entre établissements de santé et médecine de ville ou secteur médicosocial, et à l’amélioration de l’offre de soins.
La loi n° 2016-41 du 26 janvier 2016 de modernisation de notre système de santé, poursuit dans ces voies. Afin d’ancrer l’hôpital dans son territoire et de garantir

Il vous reste 96% de l’article à lire

Docteur Imago réserve cet article à ses abonnés

S'abonner à l'édition
  • Tous les contenus « abonnés » en illimité
  • Le journal numérique en avant-première
  • Newsletters exclusives, club abonnés

Abonnez-vous !

Docteur Imago en illimité sur desktop, tablette, smartphone, une offre 100% numérique

Offre mensuelle 100 % numérique

23 €

par mois

S’abonner à Docteur Imago

Auteurs

Alix Domas-Descos

Avocat au barreau de Paris.

Discussion

Aucun commentaire

Laisser un commentaire

Le fil Docteur Imago

18 Avr

16:00

RECIST 1.1 reste la norme pour évaluer la réponse tumorale, notamment pour les métastases hépatiques après traitement systémique. Les modifications au scanner et en IRM suggérant une nécrose, une fibrose, des calcifications et une hémorragie, peuvent être utilisées comme indicateurs supplémentaires de la réponse tumorale.

15:44

Des chercheurs ont examiné pour la première fois les tendances temporelles chez les patients subissant régulièrement un examen de scanner. Ces derniers ont observé une modification des pratiques d’imagerie depuis 2020, avec un taux d’examens récurrents en baisse après 2020 et une dose efficace médiane qui a augmenté après 2020 par rapport à avant 2020. (Étude).

13:15

L'arrêté du 11 avril 2025 renouvelle l'inscription du stent retriever ERIC®, fabriqué par la société MICROVENTION Europe, sur la liste des produits et prestations remboursables (LPPR) prévue à l'article L. 165-1 du Code de la sécurité sociale.

7:57

Le scanner du centre hospitalier de La Ferté-Macé (Orne) sera mis en service le jeudi 24 avril 2025, a annoncé le groupement hospitalier de territoire des Collines de Normandie dans un communiqué publié le 14 avril. Source : Ouest France.
Docteur Imago

GRATUIT
VOIR