Coopération public privé

La structuration d’une équipe territoriale de soins

Les équipes territoriales de soins sont des acteurs de premier plan de l’offre de soins. De forme et de composition diverses, leur mise en place et leur fonctionnement exigent l’élaboration soignée d’un projet médical commun et la mise en place d’une structure adaptée au contexte, aux objectifs et aux intérêts de leurs membres.

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Le 27/03/18 à 15:00, mise à jour aujourd'hui à 14:22 Lecture 16 min.

Les coopérations médicales public privé, dans ce contexte, tendent à évoluer vers la gestion en commun de la ressource et de l’activité médicale, notamment entre secteur hospitalier et secteur libéral (photo d'illustration). © Lev Dolgachov

Introduction

Une territorialisation de l’offre de soins voulue par les autorités

Parmi ses objectifs affichés, la loi n° 2009-879 du 21 juillet 2009 portant réforme de l'hôpital et relative aux patients, à la santé et aux territoires (dite « loi HPST »), entendait concourir à la mise en place d’une offre de soins graduée, sécurisée et de qualité, répondant aux besoins de santé des patients, par territoires. Elle s’appuyait, pour cela, sur les coopérations sanitaires – préexistantes et à venir - entre professionnels de santé, entre établissements de santé ou médicosociaux comme entre professionnels et établissements. La loi HPST s’attachait en particulier au décloisonnement, à la coordination des soins, notamment entre établissements de santé et médecine de ville ou secteur médicosocial, et à l’amélioration de l’offre de soins.
La loi n° 2016-41 du 26 janvier 2016 de modernisation de notre système de santé, poursuit dans ces voies. Afin d’ancrer l’hôpital dans son territoire et de garantir

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Auteurs

Alix Domas-Descos

Avocat au barreau de Paris.

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Le fil Docteur Imago

20 Nov

15:06

Une étude montre que l’angioscanner coronaire à détecteur photonique, réalisée avec des doses réduites de rayonnement et de produit de contraste, offre une excellente qualité d’image et une précision diagnostique élevée, en particulier avec les reconstructions en VMI à 55 keV. Cette technique permet de détecter avec fiabilité les sténoses obstructives et les resténoses intrastent chez des patients souffrant d’une maladie coronarienne associée à l’inflammation.

13:11

Une étude évaluant deux protocoles sur un scanner à comptage photonique : kV bas (70) et kV élevé (120) a démontré les promesses du premier protocole pour réduire la dose de radiation chez les nourrissons, avec une qualité d’image similaire à celle du protocole 120 kV, bien que des reconstructions spectrales avancées ne soient pas disponibles.

7:09

Les radiologues, hospitaliers et libéraux fédérés au sein du CNP G4, alertent sur le risque que les baisses tarifaires envisagées fassent disparaître de nombreuses structures de proximité, compromettant l’accès équitable à des soins radiologiques de qualité partout en France. Ils appellent à suspendre ces mesures, craignant notamment que cela n'engendre frein majeur à l’innovation, et se déclarent prêts à un dialogue constructif pour préserver la radiologie au service de tous.
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