Formation continue

L’accréditation des équipes fait le bilan

Une session des 69es Journées francophones de radiologie, le 8 octobre 2021 a livré un retour d’expérience sur la déclaration des événements indésirables associés aux soins dans le cadre du dispositif d’accréditation des équipes radiologiques piloté par la Haute Autorité de santé, et appelé les radiologues à développer cette pratique.

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Le 11/10/21 à 16:00, mise à jour le 11/09/23 à 13:30 Lecture 5 min.

« Ces cas nous montrent tout l’intérêt de la déclaration des événements indésirables et le retour d’expérience que l’on peut en tirer pour la pratique individuelle, au niveau de l’établissement et au niveau national », commente Lætitia May-Michelangeli, cheffe du service évaluation et outils pour la qualité et la sécurité des soins au sein de la HAS © J. H.

Entre octobre 2018 et décembre 2020, 471 radiologues se sont engagés dans une démarche d’accréditation des équipes de la Haute Autorité de santé. Ce dispositif repose sur la déclaration d’événements indésirables associés aux soins (EIAS), sur la mise en œuvre d’actions d’améliorations de pratiques et de formation. Les déclarations d’EIAS passent par un portail en ligne, l’espace SIAM. En imagerie, elles peuvent porter sur n’importe quel événement mais les radiologues experts auprès de l’ODPC-RIM, l’organisme gestionnaire du programme d’accréditation, ont défini 4 postes de vigilance : la radiologie interventionnelle, les produits de contraste, l’IRM et, nouvelle venue, la radioprotection.

89 EIAS déclarés entre 2018 et 2020

Vendredi 8 octobre, aux Journées francophones de radiologie (JFR), un panel de ces radiologues experts de l’ODPC-RIM a livré un bilan des déclarations envoyées entre 2018 et 2020. « Parmi les 89 EIAS déclarés sur cette période, 28 concernaient la radiologie interventi

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Auteurs

Jérome Hoff

Rédacteur en chef adjoint BOM Presse Clichy

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21 Nov

15:34

Des chercheurs ont examiné l’association entre la charge allostatique (AL), un indicateur de dysrégulation physiologique liée au stress, et la présence de pathologie maligne lors de biopsies mammaires guidées par imagerie. Les résultats suggèrent qu’une AL plus élevée est liée à un risque accru de pathologie maligne, ce qui pourrait guider des stratégies de dépistage personnalisées, indique une étude publiée dans JACR.

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Une étude montre que l’angioscanner coronaire à détecteur photonique, réalisée avec des doses réduites de rayonnement et de produit de contraste, offre une excellente qualité d’image et une précision diagnostique élevée, en particulier avec les reconstructions en VMI à 55 keV. Cette technique permet de détecter avec fiabilité les sténoses obstructives et les resténoses intrastent chez des patients souffrant d’une maladie coronarienne associée à l’inflammation.
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