Organisation des soins

Le CHU de Poitiers multiplie les collaborations public privé

En matière de collaboration public privé, la CHU de Poitiers a fait le choix d’explorer plusieurs versants de l’imagerie médicale. Pour répondre aux besoins de santé du territoire et rassembler les forces en présence, l’établissement a noué quatre partenariats avec des médecins libéraux.

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Le 23/02/22 à 8:00, mise à jour le 11/09/23 à 13:30 Lecture 5 min.

Le CHU de Poitiers (86) compte quatre structures public privé en imagerie qui exploitent deux TEP-TDM, une gammacaméra, deux scanners et trois IRM (photo d'illustration). D. R.

Le CHU de Poitiers (86) compte quatre structures public privé d’imagerie qui exploitent deux TEP-TDM, une gammacaméra, deux scanners et trois IRM. Les premières collaborations ont commencé en 2004 avec la création d’un groupement d’intérêt économique (GIE) en médecine nucléaire lors de l’arrivée des premières TEP-TDM. « Ces machines représentaient des investissements très lourds. Les directions du privé et du public se sont donc réunies et ont lancé cette aventure ensemble », explique Geneviève Gaschard, directrice du biomédical et du pôle imagerie du CHU de Poitiers, qui accompagne les collaborations public privé. Une première TEP-TDM a été mise en service, puis une seconde quelques années plus tard pour la filière oncologique, ainsi qu’une gammacaméra. Aujourd’hui, les trois appareils sont partagés à égalité entre les médecins nucléaires publics et privés.

L’ARS encourage les collaborations

Le second partenariat, le GIE PRC (Pôle régional de cancérologie), s’appuie également sur un par

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Carla Ferrand

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