Lors du congrès de la Société d’imagerie musculosquelettique (SIMS) Jean-François Budzik, radiologue au sein du Groupement des hôpitaux de l'institut catholique de Lille, a décrit plusieurs techniques d’IRM avancée en imagerie musculaire et leur potentielle utilisation en clinique.
Les faiblesses du DTI
Concernant l’imagerie du tenseur de diffusion (DTI), l’intervenant cite une étude publiée en 2020, réalisée chez des athlètes atteints d’une déchirure musculaire [1]. Ses auteurs ont utilisé l’imagerie T2 et DTI, en comparaison avec les scores BAMIC et Peetrons modifié. « Ils ont vu qu’il était intéressant de faire du DTI car il y avait des anomalies de certains paramètres, notamment l’anisotropie et la diffusivité. Ils ont aussi constaté que ces anomalies se normalisaient à mesure que le muscle guérissait. En revanche, cette normalisation n’était pas corrélée à la durée d’arrêt de l’activité sportive. Ils ont donc estimé que le score BAMIC était plus performant pour prédire le retour au
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