Exploiter les informations cliniques et les données d’imagerie permettrait de prévenir près de la moitié des rappels de faux positifs chez les femmes aux seins très denses qui ont passé un premier round de dépistage complémentaire par IRM, selon une étude néerlandaise présentée en août 2021 dans Radiology [1].
L’IRM produit de nombreux faux positifs
Bianca M. den Dekker, radiologue au sein du CHU d’Utrecht, et ses confrères, ont travaillé de façon prospective dans le cadre de l’essai randomisé contrôlé DENSE, pour Dense tissue and early breast neoplasm screening, qui a évalué l’efficacité d’un dépistage par mammographie et IRM injectée chez des participantes du programme de dépistage organisé des Pays-Bas dont les seins sont « extrêmement denses ». « Une forte densité mammaire accroît les risques de cancer du sein et diminue la sensibilité de la mammographie, rappellent-ils dans leur compte rendu. Un dépistage complémentaire par IRM permet d’améliorer la détection des cancers mais produi
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