L’European Society of Urogenital Radiology a modernisé ses recommandations concernant le diagnostic des masses annexielles non caractérisées par échographie. La mise à jour est parue dans European Radiology, en juin 2017. Elle est en libre accès [1].
Technique d’imagerie complémentaire utile pour le diagnostic
Les points clés à retenir sont, selon les auteurs :
- L’IRM est une technique d’imagerie complémentaire utile pour évaluer les masses indéterminées par échographie.
- La catégorisation permet un diagnostic de confiance dans la majorité des masses annexielles.
- La courbe de rehaussement du contraste de type 3 est un indicateur fort de malignité.
- Dans les masses indéterminées par échographie, l’IRM complémentaire permet une gestion du triage des patients.
Un algorithme pour intégrer l’IRM de diffusion
Les auteurs proposent un algorithme pour intégrer l’IRM de diffusion dans cette démarche diagnostique. Il est présenté dans le tableau ci-dessous.
Comment intégrer l’IRM de diffusion dans l’algorithme diagnostic des masses annexielles CC4 http://dx.doi.org/10.1007/s00330-016-4600-3
Les auteurs proposent également une synthèse de la combinaison de l’IRM pondérée en T2 et l’IRM de diffusion.
Caractérisation des masses annexielles en combinant l'IRM T2 et l'IRM de diffusion CC4 http://dx.doi.org/10.1007/s00330-016-4600-3
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