Chaque 8 novembre depuis 2012, la radiologie célèbre sa journée internationale. À grand renfort de communication, l’événement entend « améliorer la compréhension du rôle vital que jouent les radiologues et les manipulateurs dans ce parcours de soins. » Un challenge de taille, tant l’imagerie médicale et ses acteurs semblent toujours souffrir d’un « syndrome d’invisibilité », alors que leur rôle est de plus en plus important. « Les patients n’ont pas bien conscience que le radiologue est un médecin », constate Laurence Rocher, radiologue au centre hospitalier du Kremlin-Bicêtre et coresponsable du groupe information patients de la Société française de radiologie (SFR). « Le problème, c’est que le travail de diagnostic, qui commence après l’examen, n’est pas vu par le patient », analyse Myriam Edjlali-Goujon, neuroradiologue au centre hospitalier Sainte-Anne, à Paris, et chargée du groupe communication à la SFR.
Des « rendez-vous » avec les patients
Pour renforcer ce lien entre radiologu
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