Imagerie hybride

« La confiance diagnostique augmente avec la TEP-IRM »

La journée FLI-CERF du 11 octobre a évoqué l'apport de la TEP-IRM en clinique et les recherches qui visent à optimiser la qualité d’image.

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Le 12/11/18 à 8:00, mise à jour aujourd'hui à 14:11 Lecture 2 min.

Selon Vincent Lebon, les modalités exactes de la TEP-IRM dans la routine clinique restent à définir. © C. F.

Axée sur les innovations technologiques en imagerie, la journée FLI-CERF organisée en amont des Journées francophones de radiologie 2018, jeudi 11 octobre, n’a pas manqué de s’intéresser à la TEP-IRM. Lors d’une session, Vincent Lebon, chef du service hospitalier Frédéric-Joliot (SHFJ) à Orsay, a présenté les avantages de cette technologie. « Nous avons la chance d’avoir une TEP-IRM clinique et nous travaillons avec des radiologues pour interpréter nos images », a-t-il expliqué en introduction.

L’IRM, candidate idéale à l’imagerie hybride

D’après lui, le concept d'imagerie hybride avait fait ses preuves dès ses balbutiements : « Dès les premières années d’utilisation de la TEP en clinique, plusieurs études ont montré que les appareils hybrides couplant TEP et TDM présentaient des performances diagnostiques très supérieures à celles de la TEP seule », affirme-t-il. Face à ce constat, l’IRM s’est imposée comme une alliée naturelle pour former un binôme avec la TEP : « En cancérologie, l’IR

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Carla Ferrand

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