Lors de la journée FLI-CERF du 11 octobre, Myriam Edjlali-Goujon, neuroradiologue au Centre hospitalier Sainte-Anne (Paris), a présenté l’impact de la TEP-IRM sur la prise en charge diagnostique et thérapeutique en neuro-oncologie.
Un examen de seconde attention
En préambule, elle a rappelé qu’un examen de TEP-IRM en neuro-oncologie n’était jamais réalisé en une première intention. « C’est uniquement lorsqu’on a un examen qui pose un problème diagnostique que l’on va se diriger vers cette modalité d’imagerie, notamment lorsqu’on se demande si la lésion observée est une radionécrose ou une récidive », explique Myriam Edjlali-Goujon. Les patients concernés par cet examen sont ceux qui ont été opérés puis ont suivi une radiothérapie dans le cadre d’une prise en charge d’un glioblastome ou d’une métastase cérébrale, complète l’intervenante.
Une modalité déterminante
Pour différencier la radionécrose d’une récidive, la TEP-IRM est un outil appréciable car les deux contextes présentent des simil
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