Le 14 juin 2019, le congrès de la Société d’imagerie de la femme a consacré une session à la prise en charge préopératoire du cancer du sein. Catherine Ala Eddine, radiologue à l’institut Curie (Paris), y a détaillé le rôle des différentes modalités d’imagerie chez les patientes qui ne présentent pas d’envahissement ganglionnaire axillaire à l’examen clinique initial (cN0).
Un « défi » pour les radiologues et les chirurgiens
« Pour moi, l’étude du ganglion axillaire est devenue intéressante quand les chirurgiens avec lesquels je travaillais m’ont demandé de compter les ganglions axillaires pour pouvoir faire un curage sélectif, entame-t-elle. Le curage sélectif ne peut en effet être pratiqué que si les patientes présentent moins de 3 ganglions. « Il y avait donc un défi. Nous avons revu ensemble l’anatomie et nous avons essayé de compter les ganglions, de les localiser. Cela nous a permis d’optimiser un peu l’imagerie. »
Le ganglion sentinelle s’est imposé
Depuis une quinzaine d’années, le
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