Concernant le dépistage du cancer du poumon par scanner basse dose, l’édition 2019 des Journées francophones de radiologie nous rappelle qu’il reste de nombreuses étapes à franchir. « On attend toujours la publication des résultats de l’étude Nelson », confirme Gilbert Ferretti, radiologue au CHU de Grenoble lors d’une session du 11 octobre. Il a porté la parole du groupe de réflexion dépistage de la Société d’imagerie thoracique, l’intergroupe francophone de cancérologie thoracique, la Société de pneumologie de langue française, et la Société française de radiologie.
Les recommandations de la Haute Autorité de Santé
La publication de l’étude Nelson est – semble-t-il – fondamentale pour faire avancer le dossier en France sur l’opportunité de mettre en place un dépistage organisé. Il dépend du ministère de la Santé, qui s’appuie sur les recommandations de la Haute Autorité de santé (HAS). Or comme l’expliquait Catherine Rumeau-Pichon, directrice-adjointe de l’évaluation médicale, économiq
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