D’ici quelques jours, le Comité interdisciplinaire de recherche et de travail sur les agents de contraste en imagerie (CIRTACI) de la Société française de radiologie (SFR), publiera ses fiches de recommandation sur l’optimisation des doses de produits de contraste iodés et gadolinés. Samedi 12 octobre, une session des Journées francophones de radiologie (JFR) a donné un avant-goût de ces recommandations.
Un choix de dose en fonction des pathologies
Concernant le gadolinium, Anne-Laure Gaultier, radiologue à l’hôpital européen Georges-Pompidou (HEGP) a souligné que la dose usuelle clinique de 0,1 mmol/kg est la plus largement utilisée dans les différentes disciplines. Toutefois, précise-t-elle, la quantité doit s’adapter à la pathologie : « Il est possible d’injecter une demi-dose de 0,05 mmol/kg pour l’étude de grandes tumeurs de l’encéphale, par exemple les méningiomes, et des lésions comme les neurinomes, et l’étude de l’hypophyse pour la recherche de tumeurs. » L’utilisation de la dou
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