Bonnes pratiques

Le CIRTACI dévoile ses recommandations actualisées sur les produits de contraste

Le groupe de travail de la SFR sur les produits de contraste a présenté lors des JFR 2019 ses recommandations sur les PDC iodés et gadolinés. Objectif : aider les radiologues à optimiser les doses pour garantir la sécurité des patients, mais aussi éviter le gâchis.

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Le 14/10/19 à 11:00, mise à jour aujourd'hui à 15:07 Lecture 4 min.

Le 12 octobre, une session des JFR était consacrée aux recommandations du CIRTACI pour l'optimisation de l'utilisation des produits de contraste. © C. F.

D’ici quelques jours, le Comité interdisciplinaire de recherche et de travail sur les agents de contraste en imagerie (CIRTACI) de la Société française de radiologie (SFR), publiera ses fiches de recommandation sur l’optimisation des doses de produits de contraste iodés et gadolinés. Samedi 12 octobre, une session des Journées francophones de radiologie (JFR) a donné un avant-goût de ces recommandations.

Un choix de dose en fonction des pathologies

Concernant le gadolinium, Anne-Laure Gaultier, radiologue à l’hôpital européen Georges-Pompidou (HEGP) a souligné que la dose usuelle clinique de 0,1 mmol/kg est la plus largement utilisée dans les différentes disciplines. Toutefois, précise-t-elle, la quantité doit s’adapter à la pathologie : « Il est possible d’injecter une demi-dose de 0,05 mmol/kg pour l’étude de grandes tumeurs de l’encéphale, par exemple les méningiomes, et des lésions comme les neurinomes, et l’étude de l’hypophyse pour la recherche de tumeurs. » L’utilisation de la dou

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Carla Ferrand

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