Imagerie médicale hors des villes

Comment maintenir l’offre radiologique de proximité ?

Dans les petites villes et les zones rurales, l’imagerie médicale souffre du manque de moyens et de la pénurie de radiologues. Faute de repreneurs, des cabinets ferment leurs portes tandis que les plateaux techniques se vident. Alors que l’État tente de garantir l’accès aux soins grâce à des incitations financières ou de nouvelles formes de coopération médicale, des acteurs locaux, hôpitaux, élus ou médecins, s'accrochent et imaginent des solutions pour maintenir tant bien que mal l’offre radiologique auprès des populations isolées.

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Le 29/11/19 à 16:00, mise à jour hier à 14:06

Auteurs

Jérome Hoff

Rédacteur en chef adjoint BOM Presse Clichy

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Le fil Docteur Imago

7:53

Des chercheurs ont évalué l’incidence des cancers du poumon diagnostiqués dans les deux années suivant des recommandations émises par des radiologues pour un scanner thoracique dans les comptes rendus de scanner et d’IRM de la tête et du cou. Ils suggèrent que la fréquence de ces recommandations devrait être considérablement réduite (étude).

13:17

Dans une méta-analyse incluant sept études, des données montrent que le poids total et la surface corporelle sont les meilleurs prédicteurs de l’amélioration hépatique au scanner avec contraste, contrairement au poids maigre.

7:18

L’administration de glucagon et d’hyoscine-butylbromure ainsi que le volume de la vessie, n’ont montré aucune association significative avec les artefacts de mouvement lors de l’IRM prostatique T2W. De fait l’utilisation régulière d’antispasmodiques et le vidage de la vessie peuvent être reconsidérés lors de l’IRM prostatique, indique une revue systématique qui souligne la nécessité de stratégies de dosage personnalisées en scanner avec contraste amélioré.
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