Après la téléradiologie, place à la télémédecine nucléaire. Depuis 2018, la Compagnie de télémédecine (CTM Groupe) développe cette activité au sein d’une filière qui compte aujourd’hui sept médecins dans toute la France.
Sept médecins interprétateurs
« Nous avons développé une filière indépendante qui permet de gérer l’interprétation d’examens dans des centres à distance, explique Jean-Baptiste Pinaquy, médecin nucléaire au CHU de Bordeaux (33) et coresponsable de l’activité au sein de CTM Groupe. Nous intervenons aussi dans la mise en place des protocoles. Un accord avec la direction de l’hôpital me permet d’avoir une activité annexe supplémentaire », indique-t-il.
« Un soutien au coup par coup »
Pour l’heure, le CTM Groupe prend en charge les examens réalisés dans un centre hospitalier de la région Grand-Est. Cette solution de télémédecine nucléaire « répond à un réel besoin », assure Jean-Baptiste Pinaquy. « Il y a des services qui ne remplissent pas les vacations et qui peinent un peu
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