Diviser par 10 l'activité injectée de 18F-FDG en TEP-IRM cérébrale ? L'option paraît envisageable dans le suivi de patients atteints de troubles cognitifs sévères, d'après un article de l'équipe du service de médecine nucléaire de l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière publié le 12 septembre dans Scientific Reports [1]. Cette recherche fait suite à une précédente étude rétrospective publiée par la même équipe en 2019 dans Molecular Imaging and Biology [2] qui ouvrait la voie à une diminution par deux de l'activité du 18F-FDG, à 1 MBq/kg. De fait, cette dernière n'entraînait pas de diminution qualitative et quantitative dans le diagnostic de patients soupçonnés d'atteintes neurodégénératives.
« On a voulu pousser la diminution de dose à son maximum »
L'étude rétrospective actuelle concerne une cohorte de 50 patients atteints de déficits cognitifs ayant passé un examen de TEP-IRM cérébrale classique d'une trentaine de minutes, correspondant à une activité injectée de 18F-FDG de 2 MBq/kg. Pour s
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