Quelle place pour la radiologie interventionnelle gynécologique (RI) en service d'imagerie de la femme ? Cette question était au cœur d’une session du congrès 2022 de la Société d’imagerie de la femme (SIFEM), le 9 juin. Thibault Poclet, radiologue au centre hospitalier de Valenciennes (59), a montré comment les procédures guidées par imagerie étoffent l’offre de soins, aussi bien pour le diagnostic que la thérapie.
Guider les biopsies en oncologie
L’une des principales applications de la RI gynécologique concerne l’oncologie : « Dans ce contexte, la clé du problème est d’obtenir un diagnostic, que ce soit au moment du bilan initial ou pour une récidive, souligne l’intervenant. Nous pouvons donc être amenés à réaliser différentes biopsies plus ou moins compliquées sous échographie ou sous scanner, mais également des drainages et des gestes d’hémostase. » Certaines biopsies permettent de rendre facilement service, par exemple dans le cadre d’une récidive pariétale d’un adénocarcinome à ce
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