Alors que la surcharge en fer est connue pour entraîner la neurodégénérescence en induisant un stress oxydatif, en exacerbant la toxicité amyloïde, en perturbant la fonction de la protéine tau et en favorisant la mort des cellules neuronales, selon un article paru en 2018 [1], une équipe de l’université Johns-Hopkins (États-Unis) a étudié comment la mesure de la quantité de fer dans le cerveau pourrait prédire le risque de déclin cognitif et de troubles précoces liés à la maladie d’Alzheimer. Cette pathologie se caractérise par l’accumulation de protéines anormales dans le cerveau - bêta-amyloïde et tau - détectables par tomographie par émission de positons (TEP), rappellent-ils dans un communiqué.
Évaluation du lien entre Alzheimer et fer cérébral
Les résultats de cette recherche ont été publiés dans la revue Radiology de la Société nord-américaine de radiologie (RSNA) [2]. « Les troubles cognitifs légers (TCL) sont une étape transitoire précédant la démence liée à la maladie d’Alzheime
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