Pour prendre à bras le corps la problématique du diagnostic de l’endométriose, la Haute Autorité de Santé (HAS) et le Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF) ont actualisé leurs recommandations concernant la prise en charge de cette maladie gynécologique. « L’endométriose est une maladie mal repérée, avec une prise en charge insuffisamment coordonnée, entrainant un retard diagnostic et une errance des femmes », rappelle la HAS.
« Un progrès notable »
Afin de mieux diagnostiquer cette maladie, les nouvelles recommandations mettent en avant le rôle primordial de l’imagerie médicale, dans le cadre d’une prise en charge multidisciplinaire. Sur ce point, Érick Petit, radiologue spécialiste de l’endométriose à l’Hôpital Paris Saint-Joseph, joint par téléphone, note « un progrès notable » par rapport aux précédentes recommandations de 2006.
« Maintenant, le gold standard, c’est l’imagerie. »
« Enfin il est écrit noir sur blanc que ce n’est plus la cœlioscopie qui fait
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