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L’échographie revendique sa valeur ajoutée pour la prévention

Les journées d’échographie multidisciplinaire organisées à Paris les 21 et 22 septembre furent l’occasion d’évoquer le rôle de l’échographie en matière de prévention. Dans ce domaine, les ultrasons pourraient remplacer des modalités plus coûteuses.

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Le 27/09/18 à 11:00, mise à jour aujourd'hui à 15:19 Lecture 3 min.

Selon Christian Delattre, l'échographie est « la reine des imageries préventives ». © C. F.

La médecine préventive est une préoccupation dans l’air du temps, tant en matière de budget que de santé publique. « Quand on parle de prévention, on parle de mortalité évitable », a déclaré le médecin échographiste Christian Delattre lors des Journées d’échographie multidisciplinaire, les 21 et 22 septembre à Paris.

50 000 décès évitables chaque année

Cette notion de « mortalité évitable » concerne les décès prématurés, ceux qui surviennent avant l’âge de 65 ans, soit 100 000 décès sur les 500 000 annuels en France. « Sur ces 100 000 décès, 50 000 sont évitables dont 20 000 concernent les tumeurs, 12 000 les accidents et les morts violentes, et 8 000 les maladies cardiovasculaires. Tous ces décès seraient évitables si l’on faisait ce qu’il fallait », assure l’intervenant.

L’échographie, une modalité polyvalente et « budget-friendly »

Selon Christian Delattre, les performances de l’échographie pourraient lui permettre de remplacer d’autres modalités plus coûteuses. C'est le cas pour la dét

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Auteurs

Carla Ferrand

Journaliste cheffe de rubrique

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