En Corée du sud, des chercheurs se sont intéressés à la prévalence et aux facteurs de risque de réactions d’hypersensibilité aux produits de contraste iodés. L’étude menée par Min Jae Cha, radiologue à l’hôpital universitaire Chung-Ang de Séoul, met en exergue l’importance des antécédents familiaux et des antécédents individuels de réactions d'hypersensibilité.
La génétique en question
Ces antécédents sont considérés comme des facteurs de risque, « ce qui laisse supposer une prédisposition génétique potentielle », remarquent les auteurs dans Radiology [1]. Pour en arriver à cette conclusion, ils ont analysé les données des patients qui ont passé des examens de scanner injecté entre mars 2017 et octobre 2017 dans 7 hôpitaux coréens. Au total, l’étude a inclus 196 081 patients (âge moyen 59,1 ans ; 105 014 hommes et 91 067 femmes). 22 produits de contraste provenant de 11 sociétés ont été répertoriés.
0,01 % de réactions sévères
Les PDC ont déclenché une réaction d’hypersensibilité chez 1 43
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