Après NLST et Nelson, une nouvelle étude conclut aux bénéfices d’un dépistage du cancer du poumon par scanner basse dose. Celle-ci a été menée au Royaume-Uni, où une équipe de chercheurs en oncologie, radiologie, pneumologie et chirurgie thoracique a travaillé sur une cohorte de 4055 personnes. Les résultats de cet essai, baptisé UKLS, sont parus dans The Lancet le 11 septembre [1].
Deux groupes randomisés
Les chercheurs ont enrôlé les participants d’octobre 2011 à février 2013 dans deux hôpitaux thoraciques du Royaume-Uni, le Heart and Chest Hospital de Liverpool et le Royal Papworth Hospital à Cambridge. 2 028 ont été randomisés dans le groupe dépistage par scanner basse dose (un dépistage) et 2 027 dans le groupe contrôle (pas de dépistage). 87 personnes ont été exclues de l’étude, ce qui laisse un total de 3 968 participants (1 987 dans le groupe dépistage et 1 981 dans le groupe témoin), précisent les chercheurs britanniques.
Sujets à risque
Les participants éligibles étaient âgés de
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