Associer certaines caractéristiques radiomiques à des données cliniques et démographiques est le moyen le plus efficace de prédire la survie des patientes atteintes d’un cancer de l’endomètre, selon une étude rétrospective menée par des médecins de l’Imperial College de Londres, au Royaume-Uni, et présentée dans Journal of Magnetic Resonance Imaging [1].
Les marqueurs d’imagerie encore peu exploités
Le cancer de l’endomètre est le cancer gynécologique le plus commun, et son taux de survie à 5 ans est de 74 % à 91 % selon les études, rappellent les chercheurs en introduction de leur article. Plusieurs méthodes existent pour prédire la survie des patientes, notamment en exploitant des données démographiques et socioéconomiques, mais le potentiel des marqueurs d’imagerie n’a été que peu étudié avant l’avènement des radiomiques constatent-ils. Quant aux travaux publiés sur ce thème, ils présentent selon eux de « nombreuses limitations » : sets de données réduits, absence de validation extern
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